Les avertissements 1 et 2, figurant en exergue du précédent article demeurent pertinents.
Le lendemain une bonne route nous conduit au monastère de Vorotnavank, perché en nid d'aigle au dessus des méandres de la rivière Vorotan. La forteresse des X° et XI° siècles, en ruine aujourd'hui a joué un rôle très important dans l'histoire de la région.
Nous pique niquons près d'un lac au fond de la vallée.
Sur la route de Sisian, à Agoudhi, un curieux monument du VII° siècle dresse ses deux arcades sur des piliers finement sculptés. Le mystère demeure quant à sa fonction.
Le petit cimetière est jonché de pierres gravées de très jolis bas-reliefs aux dessins naïfs.
Nous faisons nos courses à Sisian, petite ville triste où les rues de terre se croisent au carré autour de la trop grande place stalinienne.
Comme dans toutes les villes et les villages arméniens, le gaz arrive dans chaque habitation par des tuyaux rouillés qui circulent dans les rues, montent puis redescendent autour des portails et des entrées, sautent intersections et rivières, desservent la moindre masure de la campagne.
Notre présence n'éveille aucune curiosité des habitants. Dans les commerces, mieux vaudrait parler un peu le russe, que tout le monde pratique ici. Tiens, tout de même, un jeune homme parle un peu d'anglais et nous indique le chemin du champ de menhirs de Zohrats Kar.
Selon les historiens arméniens, le site, vieux de 7500 ans serait plus ancien que ses homologues celtiques. 224 monolithes, de plus de trois mètres quelquefois et percés pour certains de mystérieux trous sont dressés sur le site qui pourrait avoir eu une vocation astrologique.
A Sisian, nous avons acheté à une grand mère au bord du trottoir, deux bottes d'asperges sauvages, fraîchement cueillies. Nous ne résistons pourtant pas au sourire de cet homme et lui achetons un seau de champignons des près qui régalera notre bivouac.
Le lendemain une bonne route nous conduit au monastère de Vorotnavank, perché en nid d'aigle au dessus des méandres de la rivière Vorotan. La forteresse des X° et XI° siècles, en ruine aujourd'hui a joué un rôle très important dans l'histoire de la région.
Nous pique niquons près d'un lac au fond de la vallée.
Sur la route de Sisian, à Agoudhi, un curieux monument du VII° siècle dresse ses deux arcades sur des piliers finement sculptés. Le mystère demeure quant à sa fonction.
Le petit cimetière est jonché de pierres gravées de très jolis bas-reliefs aux dessins naïfs.
Nous faisons nos courses à Sisian, petite ville triste où les rues de terre se croisent au carré autour de la trop grande place stalinienne.
Comme dans toutes les villes et les villages arméniens, le gaz arrive dans chaque habitation par des tuyaux rouillés qui circulent dans les rues, montent puis redescendent autour des portails et des entrées, sautent intersections et rivières, desservent la moindre masure de la campagne.
Notre présence n'éveille aucune curiosité des habitants. Dans les commerces, mieux vaudrait parler un peu le russe, que tout le monde pratique ici. Tiens, tout de même, un jeune homme parle un peu d'anglais et nous indique le chemin du champ de menhirs de Zohrats Kar.
Selon les historiens arméniens, le site, vieux de 7500 ans serait plus ancien que ses homologues celtiques. 224 monolithes, de plus de trois mètres quelquefois et percés pour certains de mystérieux trous sont dressés sur le site qui pourrait avoir eu une vocation astrologique.
A Sisian, nous avons acheté à une grand mère au bord du trottoir, deux bottes d'asperges sauvages, fraîchement cueillies. Nous ne résistons pourtant pas au sourire de cet homme et lui achetons un seau de champignons des près qui régalera notre bivouac.
C'est incroyable comme c'est beau toutes ces pierres!
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