Nous quittons la vallée de Soganli en direction de Nevsehir, principale ville de la Cappadoce. Nous y dénichons un concessionnaire Ford. Le cardan sera commandé à Istanbul et pourra être remplacé dans quatre jours: c'est le temps que nous pensions consacrer aux environs. Nous pouvons rouler sans problème en deux roues motrices.
Nous arrivons dans l'après midi à Uchisar pour escalader la citadelle, l'ancien village creusé dans le rocher qui domine les principales vallées de la Cappadoce.
(clic pour le diapo)
Encore un beau bivouac, vue splendide sur le village dans la nuit.
Nous partons à pied au matin, par la magnifique vallée des pigeonniers jusqu'à Göreme. Après le déjeuner, nous visiterons le musée de plein air et ses belles églises. C'est le site le plus fréquenté de la Cappadoce. Il y a 250 églises rupestres en Cappadoce, dont 150 comportent un décor peint important.
Un berger nous fait découvrir l'étroit tunnel qui nous permet d'éviter le ravin infranchissable qui nous barre le passage.
Nous arrivons dans l'après midi à Uchisar pour escalader la citadelle, l'ancien village creusé dans le rocher qui domine les principales vallées de la Cappadoce.
(clic pour le diapo)
Encore un beau bivouac, vue splendide sur le village dans la nuit.
Nous partons à pied au matin, par la magnifique vallée des pigeonniers jusqu'à Göreme. Après le déjeuner, nous visiterons le musée de plein air et ses belles églises. C'est le site le plus fréquenté de la Cappadoce. Il y a 250 églises rupestres en Cappadoce, dont 150 comportent un décor peint important.
Un berger nous fait découvrir l'étroit tunnel qui nous permet d'éviter le ravin infranchissable qui nous barre le passage.
Retour en fin de journée en taxi vers Uchisar. Nous serons convié à boire un verre de vin rouge chez l'un des meilleurs producteurs locaux. Le jeune homme qui nous a invité parle très bien le français, pour avoir vécu à Montpellier. Pour lui, et ses amis, Erdogan veut devenir le Bachar el Assad de la Turquie! Il reconnait, bien sûr, la modernisation du réseau routier... mais la plupart des turcs ne peuvent pas s'acheter une voiture. Il met à mal les assertions de notre interlocuteur de Sultanhani: la santé n'est pas gratuite, les personnes âgées et les familles ne sont pas aidées, ou si peu, l'université n'est pas accessible à tous, il faut payer partout et la corruption règne.
Bivouac sous les étoiles au même endroit qu'hier.
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