Ushuaä compte 50000 habitants, ce n'est donc pas un petit village de pêcheurs. C'est néanmoins une ville assez sympathique quoique très touristique. En saison, les paquebots déversent tous les jours des hordes de touristes qui envahissent les rues, les boutiques de souvenirs et les restaurants. Au pied des montagnes de la cordillère des Andes et de ses glaciers, la ville est tournée vers le canal de Beagle qui joint de ses eaux froides l'Atlantique au Pacifique.
Un vieux remorqueur s'ennuie dans les eaux du port.
La marine anglaise est gentiment invitée à chercher un autre mouillage. Sur le port, une belle exposition de photos en noir et blanc rappelle la guerre des Malouines. Elle n'est pas très explicite sur l'issue du conflit et célèbre les héroiques forces argentines.
Une balade en bateau sur le canal nous permet de découvrir des panoramas exceptionnels.
Le bateau s'approche au plus près des otaries et des lions de mer qui sont manifestement très habitués à ces visites quotidiennes.
Je n'ai pas retenu le nom de ces oiseaux qui emmenaient leurs petits au bain.
Les cormorans nichent par milliers sur les rochers, pas plus dérangés que ça par les lions de mer, qui en consomment pourtant régulièrement.
Le phare des Eclaireurs guide le navigateur vers Ushuaïa.
Les cormorans sont argentins, sur les îles au milieu du canal. Les montagnes et la neige sont sont argentines elles aussi, sur cette rive du canal.
Sur l'île de Bridge, la végétation nous confirme l'été. Le vent, lui, nous parle plutôt de l'hiver, et nous nous engonçons dans nos anoraks. Et les montagnes, cette fois, sont chiliennes.
Nous avions rencontré sous les tropiques une fleur presque semblable.
J'ai juste oublié mon maillot de bain. Ca fait envie, non ?
L'eau, la terre, le ciel. De tous côtés, sous toutes les lumières, la nature donne un sptectacle époustouflant.
Quelques maisons anciennes rappellent la ville du début du XX° siècle.
Après trois nuits au camping, nous bivouaquons sur le port. La pleine lune se lève entre les montagnes. Il est 22 heures. Le soleil, lui, vient à peine de se coucher à l'opposé.
Un vieux remorqueur s'ennuie dans les eaux du port.
La marine anglaise est gentiment invitée à chercher un autre mouillage. Sur le port, une belle exposition de photos en noir et blanc rappelle la guerre des Malouines. Elle n'est pas très explicite sur l'issue du conflit et célèbre les héroiques forces argentines.
Une balade en bateau sur le canal nous permet de découvrir des panoramas exceptionnels.
Le bateau s'approche au plus près des otaries et des lions de mer qui sont manifestement très habitués à ces visites quotidiennes.
Je n'ai pas retenu le nom de ces oiseaux qui emmenaient leurs petits au bain.
Les cormorans nichent par milliers sur les rochers, pas plus dérangés que ça par les lions de mer, qui en consomment pourtant régulièrement.
Le phare des Eclaireurs guide le navigateur vers Ushuaïa.
Les cormorans sont argentins, sur les îles au milieu du canal. Les montagnes et la neige sont sont argentines elles aussi, sur cette rive du canal.
Sur l'île de Bridge, la végétation nous confirme l'été. Le vent, lui, nous parle plutôt de l'hiver, et nous nous engonçons dans nos anoraks. Et les montagnes, cette fois, sont chiliennes.
Nous avions rencontré sous les tropiques une fleur presque semblable.
J'ai juste oublié mon maillot de bain. Ca fait envie, non ?
L'eau, la terre, le ciel. De tous côtés, sous toutes les lumières, la nature donne un sptectacle époustouflant.
Quelques maisons anciennes rappellent la ville du début du XX° siècle.
Après trois nuits au camping, nous bivouaquons sur le port. La pleine lune se lève entre les montagnes. Il est 22 heures. Le soleil, lui, vient à peine de se coucher à l'opposé.
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